Wayne Wonder

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Genre reggae, dancehall, rnb, jamaica, jamaican

Wayne Wonder est né en 1972 en Jamaïque comme beaucoup d’autres chanteurs de l’île, il a commencé à chanter à l’église. Il commence à écouter du reggae dans les sound-systems qui jouent près de chez lui. Inspiré par des artistes de reggae et de soul, il chante dès qu’il le peut. La première personne qui croit en lui est, excusé du peu, King Tubby. Quand le créateur du dub vous fait confiance pour trois chansons, ça donne des ailes. Fort de cette expérience, Wayne Wonder s’essaie à faire des reprises comme celle de « Never gonna give your up » de Rick Astley qui connaît un petit succès en 1988. La mort de King Tubby dont il était resté proche l’affectera et l’obligera à travailler avec d’autres producteurs de l’île tel que Lloyd Dennis qui produit son premier album « No more chance » qui est composé de morceaux originaux et de reprises de tubes américains de l’époque.
Un an plus tard il retrouve son pote Dave Kelly qui fait ses armes chez Penthouse, le label de Donovan Germain. Il participe activement au développement du label y introduisant notamment Buju Banton. Il fait d’ailleurs un duo avec Buju, « Bonna Fide Love », qui est un véritable succès et que les chanceux ont pu écouter lors de la tournée de Buju Banton avec Wayne Wonder…Mais l’artiste va en avoir assez de travailler principalement sur des reprises américaines et souhaite développer des morceaux originaux. Dans le même temps, il écrit des textes pour Buju Banton.
C’est l’époque où Dave Kelly et lui fond crée le MadHouse label. Wayne Wonder sort de nombreux hits parmi lesquels « Joyride » ou « Bashment Gal ». Il crée 2000 son label surquel il produit quelques artistes. Mais le retour fracassant de Wayne Wonder se fait grâce à Lenky. Le producteur du Diwali, riddim qui rappelons-le à claquer à la tête de tout ce qui se faisait précédemment, fait poser Wayne sur sa version. De cette collaboration naît « No Letting Go », tube planétaire qui oblige Wayne à mettre les bouchées double pour terminer son album qui sort en 2003 chez VP Records. Le chanteur est désormais reconnu pour son travail original


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Wayne Wonder est né en 1972 en Jamaïque comme beaucoup d’autres chanteurs de l’île, il a commencé à chanter à l’église. Il commence à écouter du reggae dans les sound-systems qui jouent près de chez lui. Inspiré par des artistes de reggae et de soul, il chante dès qu’il le peut. La première personne qui croit en lui est, excusé du peu, King Tubby. Quand le créateur du dub vous fait confiance pour trois chansons, ça donne des ailes. Fort de cette expérience, Wayne Wonder s’essaie à faire des reprises comme celle de « Never gonna give your up » de Rick Astley qui connaît un petit succès en 1988. La mort de King Tubby dont il était resté proche l’affectera et l’obligera à travailler avec d’autres producteurs de l’île tel que Lloyd Dennis qui produit son premier album « No more chance » qui est composé de morceaux originaux et de reprises de tubes américains de l’époque.
Un an plus tard il retrouve son pote Dave Kelly qui fait ses armes chez Penthouse, le label de Donovan Germain. Il participe activement au développement du label y introduisant notamment Buju Banton. Il fait d’ailleurs un duo avec Buju, « Bonna Fide Love », qui est un véritable succès et que les chanceux ont pu écouter lors de la tournée de Buju Banton avec Wayne Wonder…Mais l’artiste va en avoir assez de travailler principalement sur des reprises américaines et souhaite développer des morceaux originaux. Dans le même temps, il écrit des textes pour Buju Banton.
C’est l’époque où Dave Kelly et lui fond crée le MadHouse label. Wayne Wonder sort de nombreux hits parmi lesquels « Joyride » ou « Bashment Gal ». Il crée 2000 son label surquel il produit quelques artistes. Mais le retour fracassant de Wayne Wonder se fait grâce à Lenky. Le producteur du Diwali, riddim qui rappelons-le à claquer à la tête de tout ce qui se faisait précédemment, fait poser Wayne sur sa version. De cette collaboration naît « No Letting Go », tube planétaire qui oblige Wayne à mettre les bouchées double pour terminer son album qui sort en 2003 chez VP Records. Le chanteur est désormais reconnu pour son travail original


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